29 décembre 2010
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la liberté était immense car il ne portait plus. plus la vie des autres, plus les modèles qu'il se construisait pour les comprendre, plus les destins tracés par ses parents, plus les annonces malheureuses. alors partout en action, à sauter de toutes parts, à danser avec la vie qui revenait. sa compagne était la mort, joyeuse et passionnée. sans elle, rien n'était, rien n'était beau ni désirable, car elle éclairait de sa lumière noire les éclats de vie.